je réseaute, tu réseautes,

Qui ne "réseaute" pas aujourd'hui au pays des blogs, des Facebook, de twitter, de linkedin.

Justement concernant Linkedin, j'avais créé mon profil il y a 6 mois, avais lancé 2 invitations à mes amies travaillant dans le tourisme et basta..

Vendredi dernier, je me connecte, lance des invitations à mes collègues et d'autres que je ne connais pas en restant toujours dans le secteur du tourisme, bingo 15 contacts en 1 semaine. A ce rythme là, dans l'année je vais avoir mes 300 contacts..

Jérôme ne cesse de me dire qu'un réseau professionnel est très important, d'ailleurs c'est comme cela qu'il a trouvé son job ici. Il s'est connecté avec la DRH de l'entreprise et tout a commencé.

D'ailleurs à Montréal, 80% les postes sont cachés, c'est à dire pas affichés dans les rubriques "emplois", une personne sur linkedin peut ouvrir bien des portes....

Facebook, j'étais plutôt contre au départ, un jour Maëlys m'a dit "oh j'aimerais bien avoir mon Facebook", je lui ai dit non. Peu de temps après, elle m'a dit "regarde maman mon facebook". J'étais désabusée mais j'ai compris que l'informatique et les réseaux sociaux nous rattrapaient. J'ai quand même vérifié les accès des amis des amis et lui ai touché 2 mots sur les bonnes choses de Facebook et les revers de la médaille concernant la protection de sa vie privée. Elle a compris...

Il faut se servir de tous ces réseaux pour être connecté au monde, à l'international, aller vite de plus en plus vite. J'ai vu un jour un reportage sur une jeune fille qui ne trouvait pas de travail malgré son nombre d'années après le bac. J'ai retenu l'analyse du sociologue qui disait que si ses parents avaient eu un réseau social, cette jeune fille aurait pu être intégrée rapidement dans le monde professionnel. Et c'est vrai.

Grace à mon blog, j'ai pu mettre en relation 2 personnes avec des ressources humaines, parce que la profession s'y prêtait, bien entendu.

Mais comme je dis à ma fille, il faut tout de même faire la différence entre amis et amis virtuels, sinon on peut vite perdre la réalité des choses...